Certaines études internationales montrent que celles et ceux qui ont une sexualité plus longue dans le temps vivent plus longtemps.
Le vaginisme empêche ou rend délicat l'intromission mais pas d'avoir une sexualité sous d'autres formes ou d'autres pratiques.
Je suppose donc que l'espérance de vie n'en est que très peu affecté.
Vivre avec le vaginisme est néanmoins très envahissant en pensée et en situation amoureuse ou même solitaire.
Il prend donc beaucoup de place au quotidien
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