Le syndrome des antiphospholipides, également connu sous le nom de syndrome de Hughes, n'est pas considéré comme une maladie héréditaire. Cependant, il existe des facteurs génétiques qui peuvent augmenter le risque de développer cette maladie auto-immune.
Les études ont montré qu'il existe des prédispositions génétiques qui peuvent rendre certaines personnes plus susceptibles de développer le syndrome des antiphospholipides. Ces prédispositions peuvent être transmises de génération en génération, mais cela ne signifie pas que la maladie se transmet directement.
Il est important de noter que le syndrome des antiphospholipides est une maladie complexe qui peut être influencée par des facteurs environnementaux et génétiques. Il est donc essentiel de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des informations spécifiques sur votre cas.
Il est recommandé de parler à un généticien ou à un spécialiste des maladies auto-immunes pour obtenir des conseils personnalisés sur les risques potentiels de transmission génétique du syndrome des antiphospholipides.