Tout dépend de l'approche qu'a la personne sur l'infertilité et à quel niveau elle est touchée. C'est peut être le sujet le plus sensible car, pour tout le reste : il suffit d'être bien suivi. Donc on peut bien-sûr être heureuse. On conseille cependant, lors de périodes plus difficiles, d'être suivie aussi par un psychologue.